Politique et administration
- L'approbation du président Boric est de 28%.
- Contradiction dans le gouvernement: le président Boric dit qu'il faut "dialoguer jusqu'à ce que cela fasse mal", mais la porte-parole du gouvernement dit que "le gouvernement ne changera en rien son orientation, quel que soit le résultat des élections" (de conseillers constitutionnels, le 7 mai). Le résultat de l'élection lui est défavorable (voir plus loin) et l'opposition lui demande de corriger sa route, Et Boric répond: "Le nord du gouvernement ne se modifie pas par la conjoncture".
- Émigrants bloqués à la frontière avec le Pérou, qui désirent rentrer chez eux, mais non autorisés par le Pérou: Le Vénézuéla a envoyé un avion qui en emporte environ 120. Cela a produit une affluence d'autres vénézuéliens désireux de rentrer chez eux, dans l'espoir d'avoir aussi leur chance. Une délégation du ministère des Affaires Étrangères chilien est allé à Caracas pour discuter sur d'autres repatriations (on attend les résultats).
- Nouvelle constitution: Le manque d'intérêt a atteint 50%. Et malgré la "frange" de propagande journalière à la télévision (à midi et le soir, pendant plus d'un mois), 62% des gens ont dit être peu ou pas informés sur les candidatures.
- Élection des 50 (ou 52) conseillers chargés de la rédaction finale (7 mai): 84% des électeurs ont voté mais il y a eu 17% de votes nuls (ne marquant pas correctement la préférence: mauvaise compréhension de comment voter dans ce cas ou bien désintérêt).
- Le Parti Républicain (¿droite "radicale et conservatrice", plutôt qu'"extrême"?) a obtenu 23 conseillers (de 51) et 35,4% des votes; il est suivi de la gauche (du PS au PC, avec le Front Ample) avec 16 conseillers et 25,6% des voix (6 socialistes, 2 communistes et les autres du Front Ample), puis les 3 autres partis de droite avec 11 conseillers et 21,07%. Cela fait 56,5% des votes pour la droite en son ensemble. C'est la première élection depuis 1990 où la droite dépasse la gauche, qui maintient ses 36% (Il y a un autre groupe de centre-gauche, de 3 partis, qui a obtenu 14,9%, et pas assez pour obtenir des sièges.) Il y a de plus 1 mapouche (siège réservé aux "peuples originaires"; il n'y a pas eu assez de voix pour en élire plus).
- Contradiction dans le gouvernement: le président Boric dit qu'il faut "dialoguer jusqu'à ce que cela fasse mal", mais la porte-parole du gouvernement dit que "le gouvernement ne changera en rien son orientation, quel que soit le résultat des élections" (de conseillers constitutionnels, le 7 mai). Le résultat de l'élection lui est défavorable (voir plus loin) et l'opposition lui demande de corriger sa route, Et Boric répond: "Le nord du gouvernement ne se modifie pas par la conjoncture".
- Émigrants bloqués à la frontière avec le Pérou, qui désirent rentrer chez eux, mais non autorisés par le Pérou: Le Vénézuéla a envoyé un avion qui en emporte environ 120. Cela a produit une affluence d'autres vénézuéliens désireux de rentrer chez eux, dans l'espoir d'avoir aussi leur chance. Une délégation du ministère des Affaires Étrangères chilien est allé à Caracas pour discuter sur d'autres repatriations (on attend les résultats).
- Nouvelle constitution: Le manque d'intérêt a atteint 50%. Et malgré la "frange" de propagande journalière à la télévision (à midi et le soir, pendant plus d'un mois), 62% des gens ont dit être peu ou pas informés sur les candidatures.
- Élection des 50 (ou 52) conseillers chargés de la rédaction finale (7 mai): 84% des électeurs ont voté mais il y a eu 17% de votes nuls (ne marquant pas correctement la préférence: mauvaise compréhension de comment voter dans ce cas ou bien désintérêt).
- Le Parti Républicain (¿droite "radicale et conservatrice", plutôt qu'"extrême"?) a obtenu 23 conseillers (de 51) et 35,4% des votes; il est suivi de la gauche (du PS au PC, avec le Front Ample) avec 16 conseillers et 25,6% des voix (6 socialistes, 2 communistes et les autres du Front Ample), puis les 3 autres partis de droite avec 11 conseillers et 21,07%. Cela fait 56,5% des votes pour la droite en son ensemble. C'est la première élection depuis 1990 où la droite dépasse la gauche, qui maintient ses 36% (Il y a un autre groupe de centre-gauche, de 3 partis, qui a obtenu 14,9%, et pas assez pour obtenir des sièges.) Il y a de plus 1 mapouche (siège réservé aux "peuples originaires"; il n'y a pas eu assez de voix pour en élire plus).
Avec 34 conseillers, la droite s'assure les 2/3 des voix nécessaires pour approuver les articles de la future constitution. La gauche n'en a pas assez pour faire des vetos, mais le Parti Républicain, lui, les a (mais pas assez pour imposer à lui seul ses vues). (Voir EXTRA: "Comment Kast a obtenu la majorité dans une Constitution qu'il n'a jamais voulue". Voir aussi, à la fin de ce post, les possibles raisons de ce triomphe.)
- Six hommes forts votés ont dû céder leur place à des femmes moins votées à cause de l'obligation d'autant de sièges pour elles que pour les hommes.
- Note: Le Parti Républicain était partisan de conserver la présente constitution, avec quelques modifications. Il lui faudra de toutes façons "composer", au moins avec le reste de la droite et tenir compte que la désapprobation pour lui exprimée dans les enquêtes est resté de l'ordre de 50%. Son slogan durant la campagne électorale: "Récupérer, reconstruire". Mais sa victoire a fait surgir des craintes dans tous les autres secteurs. Le leader du parti a cependant demandé à ses conseillers d'être prudents et de chercher les accords pour que le résultat soit un succès.
- Pour la première fois depuis sa création, la Démocratie Chrétienne n'a obtenu aucun élu lors d'une élection. Il y a quelques années, son alliance avec les socialistes lui avait valu la perte de près de la moitié de ses militants. Se séparer du PS, maintenant, ne lui a pas réussi.
- Ce fut aussi une grande déroute pour le Parti des Gens (populiste), avec seulement 9% des voix, mais aussi pour les 3 autres partis de droite, ensemble dépassés par les républicains.
- Contradictoire: La liste socialiste + PC et Front Ample a obtenu plus de votes dans les communes de haut standing, alors que les Républicains (considérés parti d'une élite) ont obtenu plus dans les autres. "La gauche, d'être représentante des travailleurs, est passée à être représentante des universitaires et des hautes classes. Rien d'étonnant que les ouvriers lui tournent le dos", dit un docteur en philosophie.
- Conclusion: le pays n'est pas ce qu'imaginait la gauche.
- Les suites:
* Le président Boric a demandé que les républicains "ne fassent pas la même erreur qu'a fait son secteur lors de la convention passée" (imposer ses vues contre vents et marées).
* Une réunion de "comité politique", du président, des ministres et les représentants des partis qui l'appuyent, a décidé que le gouvernement continuerait avec ses plans de réformes existants.
* Si la nouvelle constitution est approuvée au plebiscite de décembre, elle devra être signée par le président Boric même si elle ne lui plait pas du tout!
* Premier thème qui serait discuté par le Conseil: déclaration d'état "social et démocratique de droits" vs "état subsidiaire". Les républicains défendent la subsidiarité et d'autres, de droite, font remarquer avec réalisme que "l'état n'est pas si riche qu'il puisse répondre à toutes les nécessités des gens". [Un futur débat à oberver. Le problème est que le parlement a déjà défini que l'état social est "une base irrenonciable".]
- Six hommes forts votés ont dû céder leur place à des femmes moins votées à cause de l'obligation d'autant de sièges pour elles que pour les hommes.
- Note: Le Parti Républicain était partisan de conserver la présente constitution, avec quelques modifications. Il lui faudra de toutes façons "composer", au moins avec le reste de la droite et tenir compte que la désapprobation pour lui exprimée dans les enquêtes est resté de l'ordre de 50%. Son slogan durant la campagne électorale: "Récupérer, reconstruire". Mais sa victoire a fait surgir des craintes dans tous les autres secteurs. Le leader du parti a cependant demandé à ses conseillers d'être prudents et de chercher les accords pour que le résultat soit un succès.
- Pour la première fois depuis sa création, la Démocratie Chrétienne n'a obtenu aucun élu lors d'une élection. Il y a quelques années, son alliance avec les socialistes lui avait valu la perte de près de la moitié de ses militants. Se séparer du PS, maintenant, ne lui a pas réussi.
- Ce fut aussi une grande déroute pour le Parti des Gens (populiste), avec seulement 9% des voix, mais aussi pour les 3 autres partis de droite, ensemble dépassés par les républicains.
- Contradictoire: La liste socialiste + PC et Front Ample a obtenu plus de votes dans les communes de haut standing, alors que les Républicains (considérés parti d'une élite) ont obtenu plus dans les autres. "La gauche, d'être représentante des travailleurs, est passée à être représentante des universitaires et des hautes classes. Rien d'étonnant que les ouvriers lui tournent le dos", dit un docteur en philosophie.
- Conclusion: le pays n'est pas ce qu'imaginait la gauche.
- Les suites:
* Le président Boric a demandé que les républicains "ne fassent pas la même erreur qu'a fait son secteur lors de la convention passée" (imposer ses vues contre vents et marées).
* Une réunion de "comité politique", du président, des ministres et les représentants des partis qui l'appuyent, a décidé que le gouvernement continuerait avec ses plans de réformes existants.
* Si la nouvelle constitution est approuvée au plebiscite de décembre, elle devra être signée par le président Boric même si elle ne lui plait pas du tout!
* Premier thème qui serait discuté par le Conseil: déclaration d'état "social et démocratique de droits" vs "état subsidiaire". Les républicains défendent la subsidiarité et d'autres, de droite, font remarquer avec réalisme que "l'état n'est pas si riche qu'il puisse répondre à toutes les nécessités des gens". [Un futur débat à oberver. Le problème est que le parlement a déjà défini que l'état social est "une base irrenonciable".]
Economie
- Inflation d'avril: 0,3% (9,9% en 12 mois).
- Le résultat de l'élection de conseillers, avec la victoire de la droite, pourrait donner plus de confiance aux investisseurs. La bourse a monté de 2% le lendemain mais, malgré cela, les entreprises locales réduisent leurs plans d'investissement.
- La production industrielle est tombée de 1,9%, surtout à cause de la baisse de production de cuivre. L'activité économique totale a baissé de 2,1% en mars (comparé à l'an passé) et 1,9% en un an, avec une forte baisse du commerce (5,4%) en plus de l'activité industrielle.
- Les dépenses publiques ont augmenté de 5% au premier trimestre et les rentrées pour impôts sur les rentes ont apporté pour la première fois plus que la TVA.
- La confiance des consommateurs a un peu remonté en avril et est à 39,6/100. Mais les "grandes surfaces" continuent à faire des pertes et une des chaînes a remercié un tiers de son personnel (une autre avait déjà fermé des magasins).
- En un an les traitements ont augmenté nominalement pour la première fois depuis 17 ans (11,2%), mais ce n'est pas une augmentation rélle car l'inflation a été de 12%. Le coût moyen de la main d'oeuvre est d'environ 8,5 €/h.
- Les institutions privées de santé (assurances) ont perdu 127.000 affiliés au premier trimestre. Selon l'organisme contrôleur du ministère de la Santé, elles auraient dépassé dans leurs factures les montants maximum fixés en 2019 pour un total, depuis lors, de 1.400 millions de dollars. La Cour Suprême a ordonné que ce montant soit rendu aux affiliés. Les assurances déclarent que cela correspond à 30 ans (passés) de bénéfices et que les rendre est impossible car cela causerait leur faillite. Un projet de loi donnerait aux assurances 6 mois pour proposer un mécanisme de restitution mais propose aussi une voie pour que les affiliés passent au système public [qui serait pourtant incapable de les absorber]. Selon les privés, c'est une façon d'avancer vers un monopole public de la santé.
- La pauvreté (selon les critères locaux) était de 68% en 1990 et est maintenant de 10,8%.
- Graphique: les dépenses sociales du Chili, comparées aux autres pays de l'OCDE et d'Amérique Latine (les plus grandes d'A.L.).
- Le résultat de l'élection de conseillers, avec la victoire de la droite, pourrait donner plus de confiance aux investisseurs. La bourse a monté de 2% le lendemain mais, malgré cela, les entreprises locales réduisent leurs plans d'investissement.
- La production industrielle est tombée de 1,9%, surtout à cause de la baisse de production de cuivre. L'activité économique totale a baissé de 2,1% en mars (comparé à l'an passé) et 1,9% en un an, avec une forte baisse du commerce (5,4%) en plus de l'activité industrielle.
- Les dépenses publiques ont augmenté de 5% au premier trimestre et les rentrées pour impôts sur les rentes ont apporté pour la première fois plus que la TVA.
- La confiance des consommateurs a un peu remonté en avril et est à 39,6/100. Mais les "grandes surfaces" continuent à faire des pertes et une des chaînes a remercié un tiers de son personnel (une autre avait déjà fermé des magasins).
- En un an les traitements ont augmenté nominalement pour la première fois depuis 17 ans (11,2%), mais ce n'est pas une augmentation rélle car l'inflation a été de 12%. Le coût moyen de la main d'oeuvre est d'environ 8,5 €/h.
- Les institutions privées de santé (assurances) ont perdu 127.000 affiliés au premier trimestre. Selon l'organisme contrôleur du ministère de la Santé, elles auraient dépassé dans leurs factures les montants maximum fixés en 2019 pour un total, depuis lors, de 1.400 millions de dollars. La Cour Suprême a ordonné que ce montant soit rendu aux affiliés. Les assurances déclarent que cela correspond à 30 ans (passés) de bénéfices et que les rendre est impossible car cela causerait leur faillite. Un projet de loi donnerait aux assurances 6 mois pour proposer un mécanisme de restitution mais propose aussi une voie pour que les affiliés passent au système public [qui serait pourtant incapable de les absorber]. Selon les privés, c'est une façon d'avancer vers un monopole public de la santé.
- La pauvreté (selon les critères locaux) était de 68% en 1990 et est maintenant de 10,8%.
- Graphique: les dépenses sociales du Chili, comparées aux autres pays de l'OCDE et d'Amérique Latine (les plus grandes d'A.L.).
Sécurité
- Il y a eu des vols de cuivre en 2022 pour une valeur de 88,2 millions de dollars.
- Les incidents se sont multipliés au cours de matchs de football des principales équipes (lancement de bengales et de feux artificiels sur le terrain, et bagarres). Les matchs ont été interrompus et remis.
- 19 personnes ont été arrêtées pour contrebande réalisée grâce à la participation de 5 douaniers à l'aéroport de Santiago et vendeurs des produits dans 4 régions du pays. Une autre bande (un albanais, 2 chinois et un péruvien) a été arrêtée tentant d'exporter par le port de San Antonio 100 kg de drogue vers l'Europe.
- Le gouvernement a envoyé au parlement un projet de loi d"intelligence économique" pour mieux poursuivre l'argent gagné par les trafiquants de drogue.
- Nouvelle "ronde" nationale des carabiniers: 6.000 arrestations et 389 kg de drogue saisies (et aussi des armes).
- Les prisons sont surpeuplées (120% d'occupation) et il y a encore des dizaines de milliers d'ordres d'arrestation: on n'a pas où les mettre! [Les actuelles autorités, lorsqu'elles étaient parlementaires, ont voté contre la construction de nouvelles prisons.]
- Des jeunes "intelligents", voleurs d'autos, publiaient leurs succès sur les réseaux sociaux. Bien sûr, la police les a rapidement identifiés et arrêtés.
- Araucanie: Nouvelle escalade d'attentats (10 attaques en 2 jours, et continuant). L'état d'urgence qui existe depuis un an et permet la présence des militaires semble n'y faire rien; ils ont même augmenté de 47% en avril. Les patroullages militaires seront augmentés de 50% et de nouveaux blindés et hélicoptères y seront envoyés. Une base militaire sera installée dans la région. [Cela ne semble pas la meilleure façon de freiner des actions de guerrilla.]
- La maison du conseiller républicain récemment élu a été attaquée à coups de fusils.
- Dans cette région et les 2 voisines, la droite a obtenu plus de 60% des voix à l'élection des conseillers constitutionnels.
- Fin d'enquête: 48% des (grands) incendies de forêts, en février, ont été intentionnels.
- 19 personnes ont été arrêtées pour contrebande réalisée grâce à la participation de 5 douaniers à l'aéroport de Santiago et vendeurs des produits dans 4 régions du pays. Une autre bande (un albanais, 2 chinois et un péruvien) a été arrêtée tentant d'exporter par le port de San Antonio 100 kg de drogue vers l'Europe.
- Le gouvernement a envoyé au parlement un projet de loi d"intelligence économique" pour mieux poursuivre l'argent gagné par les trafiquants de drogue.
- Nouvelle "ronde" nationale des carabiniers: 6.000 arrestations et 389 kg de drogue saisies (et aussi des armes).
- Les prisons sont surpeuplées (120% d'occupation) et il y a encore des dizaines de milliers d'ordres d'arrestation: on n'a pas où les mettre! [Les actuelles autorités, lorsqu'elles étaient parlementaires, ont voté contre la construction de nouvelles prisons.]
- Des jeunes "intelligents", voleurs d'autos, publiaient leurs succès sur les réseaux sociaux. Bien sûr, la police les a rapidement identifiés et arrêtés.
- Araucanie: Nouvelle escalade d'attentats (10 attaques en 2 jours, et continuant). L'état d'urgence qui existe depuis un an et permet la présence des militaires semble n'y faire rien; ils ont même augmenté de 47% en avril. Les patroullages militaires seront augmentés de 50% et de nouveaux blindés et hélicoptères y seront envoyés. Une base militaire sera installée dans la région. [Cela ne semble pas la meilleure façon de freiner des actions de guerrilla.]
- La maison du conseiller républicain récemment élu a été attaquée à coups de fusils.
- Dans cette région et les 2 voisines, la droite a obtenu plus de 60% des voix à l'élection des conseillers constitutionnels.
- Fin d'enquête: 48% des (grands) incendies de forêts, en février, ont été intentionnels.
Les possibles raisons du triomphe conservateur
1. Sensation de crise due à un manque de certitude, vu l'incapacité du gouvernement qui assurait pouvoir tout changer. Le parti républicain a réussi à convaincre qu'il donnait le plus de garantie.
2. Un vote de refus associé au vote de refus du premier projet de constitution et au refus du programme du gouvernement du fait de sa vigoureuse campagne pour l'approbation de ce projet-là.
3. Les candidats républicains, n'ayant jamais encore eu de poste politique à responsabilité, ne sont pas "souillés" par le pouvoir.
4. L'emphase sur le thème de la sécurité, qui est celui qui importe le plus aux chiliens (et les résultats les plus débiles du gouvernement), plus la réclamation des droits de propriété des épargnes et de libre élection en questions de santé et d'éducation. (47% de ceux qui ont voté pour ce parti l'ont fait dans l'espoir d'un meilleur combat de la délinquance, selon enquête postérieure.)
5. On dit qu'il y aurait aussi un "sens commun néolibéral".
2. Un vote de refus associé au vote de refus du premier projet de constitution et au refus du programme du gouvernement du fait de sa vigoureuse campagne pour l'approbation de ce projet-là.
3. Les candidats républicains, n'ayant jamais encore eu de poste politique à responsabilité, ne sont pas "souillés" par le pouvoir.
4. L'emphase sur le thème de la sécurité, qui est celui qui importe le plus aux chiliens (et les résultats les plus débiles du gouvernement), plus la réclamation des droits de propriété des épargnes et de libre élection en questions de santé et d'éducation. (47% de ceux qui ont voté pour ce parti l'ont fait dans l'espoir d'un meilleur combat de la délinquance, selon enquête postérieure.)
5. On dit qu'il y aurait aussi un "sens commun néolibéral".
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